5 Questions à Jean-Paul Albert de Saubahe Ayadi-Takerkart

Les auteurs du très bel ouvrage "La République" publié aux Editions Fleurus, répondent à mes questions.

1 - Ce nouvel ouvrage "La République" résonne avec l'actualité, pensez-vous que la jeunesse de notre pays connaît mal les fondements, le fonctionnement de la République ?

J.P Albert et Saubahe Ayadi-Takerkart : Il est nécessaire de revenir au fondamental, et il est vrai que les jeunes aujourd'hui connaissent mal les institutions de notre pays. On les informe sur des faits de société tels que la sexualité, la différence mais ils connaissent mal les rouages de notre société. Il y a comme un vide sur les connaissances et sur les fondements de nos institutions.

2 - Je suis maman, ancienne élève, en lisant ce livre, j'ai appris des choses jamais vues dans ma scolarité, pensez-vous que les programmes, les manuels ne vont pas jusqu'au bout de leurs informations ?

J.P Albert et Saubahe Ayadi-Takerkart : Il n'y a pas d'outil pédagogique et attractif très adapté sur des sujets pointus, c'est pour cela que la collection, la grande imagerie, qui associe le texte à l'image s'adapte bien aux scolaires.

3- Comment choississez-vous vos sujets pour "La grande imagerie" aux éditions Fleurus ?

Saubahe Ayadi-Takerkart : Il n'y avait pas d'outil pédagogique très adapté sur des sujets aussi importants que le thème de la justice ou sur la République dans le marché, il était nécessaire de les ajouter dans cette collection.

4 - Comment s'est organisé votre travail à deux sur cet ouvrage ?

J.P Albert et Saubahe Ayadi-Takerkart : En corrélation totale, avec le regard d'un professionnel dans le domaine du droit et d'un professionnel dans les lectures d'enfants, ce qui a permis d'associer les images aux textes.

5 - Personnellement, je classerai ce livre d'utilité publique, c'était important pour vous de parler de "la République" ?

J.P Albert et Saubahe Ayadi-Takerkart : On ingnorait que la République prendrait une telle ampleur et malheureusement on la redécouvre au travers de faits tragiques mais elle a toujours été là, nous l'avions jamais perdu de vue.

Entretien réalisé par mail le Mardi 3 Février et le Jeudi  5 Février 2015. Merci aux auteurs pour leur disponibilité